Dans la seconde partie de Contes d'asphalte, le petit Martin représente une idéalisation de ma propre enfance. Ses jeux, ses manies et son entourage sont inspirés de faits véritables des premières années de ma vie.
Ainsi, en 1966-67, j'avais eu droit à la plus adorable maîtresse d'école que l'on puisse imaginer : Mademoiselle Huguette. Il n'en fallait pas plus que pour qu'elle devienne personnage de mon roman et que Martin soit fou d'amour pour ses beaux yeux.