Ne nous affolons pas avec l'idée qu'un livre soit le sujet d'une critique dans un journal ou une revue. 95 % des romans québécois sont ignorés dans ces médias, à moins d'être une personne qui n'en a pas besoin : un auteur déjà médiatisé, car les médias, tout le monde le sait, servent à faire connaître ce qui est déjà connu.
L'auteur a une meilleure chance si la maison d'éditions paie une publicité dans le média. C'est ce qui est arrivé avec VLB et l'importante revue Le Libraire. Ce sera la seule critique pour ce roman. Notez bien que si l'honneur ne m'est pas arrivé trop souvent, c'était toujours positif.
Cliquez pour mieux lire. Comment on se sent en voyant ceci? Flatté, gonflé à bloc, mais réaliste : un roman qui ne reçoit qu'une critique est un coup d'épée dans l'eau. Les gens ayant lu ceci avaient oublié une demi-heure plus tard. Par contre, c'est excellent pour l'ego de l'auteur.