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Titre du blog : Mario Bergeron, romancier du Québec
Auteur : Marioromans
Date de création : 01-01-2016
 
posté le 01-02-2019 à 16:16:49

Terminer un roman et en débuter un autre

 

 

Ce fut parfois immédiat : écrire la dernière ligne de l'un, sortir une feuille et commencer un autre roman. Pas cette fois : il y a eu une journée sans écrire. car j'ai pensé que débuter un 1 février serait mieux.

Quand je sais que j'achève un roman, je prépare tout de suite le suivant.   Le Fouinard, août 2018 à janvier 2019, est basé sur des extrapolations relatives à des faits vécus au cours de l'année scolaire 1973-74 de mon adolescence. Je crois que c'est un texte amusant, mais actuellement plein de maladresses. Je n'ai pas terminé de transférer l'ensemble dans son fichier informatique, mais quand ce sera fait, il y aura l'étape de la première relecture, suivie d'une seconde immédiatement. J'en reparlerai.

Le projet mis en chantier le 1 février concerne un personnage déjà vu dans Gros-Nez le quêteux et auquel j'ai consacré un roman : Grand-Regard et la Lumière. Un personnage que j'adore et c'est suffisant pour y retourner.

J'ai d'abord fait une relecture du roman, prenant en note tout ce qui peut concerner le passé de la jeune femme. Puis j'ai établi un plan, allant de 1885 à 1905. Je vais garder la même approche que dans Grand-Regard et la Lumière : chapitres courts et thématiques, enchaînés les uns aux autres, sans dialogues avec tirets. Mon but est de créer un roman aussi court que l'autre : 150 pages maximum. Ajoutons aussi le fait que si cette fiction se déroule dans le passé du Québec de jadis, je ne nomme aucun lieu et n'utilise pas d'argot, si bien qu'une personne de France ou de tout autre pays francophone pourra s'y identifier.

 

La photo date d'il y a trois années, prise au parc où je me rends écrire d'avril à octobre, avec mon café acheté au dépanneur du coin.

 

Commentaires

Marioromans le 06-02-2019 à 14:37:58
Le parc est en face de moi, assez vaste, avec des arbres géants, un étang avec mouettes et canards. La route que tu nomes est une petite rue.
chocoreve le 06-02-2019 à 13:53:12
Le banc, je ne l’imaginais pas en bordure de route, près des habitations, mais plutôt sur un tapis de mousse, dans un parc boisé, isolé … « choco » qui rêve toujours !

bonne continuation pour ce nouveau roman !