J'ai commencé la création de Grand-Regard et le crépuscule le 12 août. Voilà donc moins d'un mois. À ce jour, il y a quatre chapitres rédigés, et donc quarante pages. Mon plan informel a déjà été modifié. Il se passe beaucoup de choses, dans chaque chapitre, mais j'ai l'impression que mon personnage vedette est en retrait. C'est une période (le début des années 1930) où il arrive divers événements relatifs aux enfants de Grand-Regard, comme des mariages, des naissances et le succès surprise de la jeune Adèle, comme romancière et qui vole nettement la vedette à sa mère Grand-Regard. De plus, lors des deux premiers chapitres, je devais évoquer et résumer ce qui s'était passé dans les tomes précédents. Je ne fais pas de corrections actuellement, car ceci est réservé à la fin de la création, quand le texte sera dans son fichier informatique (car j'écris à la main sur du papier).
Le soir, je travaille à la première relecture de Grand-Regard et les enfants. À toute vitesse, car cette étape doit avoir recours à la mémoire vive, entre autres pour déceler ce qui a été inutilement répété. La seconde lecture est plus lente et elle concerne surtout le vocabulaire choisi à modifier, à améliorer.
J'écris rarement à la maison (sauf en hiver!) Je me rends au parc près de chez moi, avec mon café, pour intriguer les passants. 'Qu'est-ce qu'il fiche là, ce gars ?'. Le second endroit : le terrain de baseball fantôme, où je me sens profondément à l'aise. Aller-retour, c'est près d'une heure de marche, mais à force de le faire, le temps passe rapidement, et je ne pense plus que c'est loin. Jusqu'ici, il y a eu seize occasions et... 'Qu'est-ce qu'il fiche là, ce gars ?'
Commentaires
J'ai hâte de le retrouver ce gars lâ, au plaisir.
Alors je vais faire les deux parcs en espérant revoir un de mes meilleurs amis. À bientôt j’espère!
Content de te retrouver. Ça fait un bout. Je pensais te retrouver au parc à un Mach de baseball mais COVID oblige. J’espère avoir des nouvelles, Marcel.
Je réponds à leur questions et je leurs dis ce que je fais. Quand je vois que c'est une personne qui aime les livres, je donne un signet, qie j'ai toujours dans mon sac à dos. Mais je trouve amusant de faire naître ainsi le curiosité.
Oui quoique l'on fasse, où que l'on soit nous ne sommes jamais seuls. Moi qui habite à la campagne, il n'est pas rare de voir un rideau se lever, un volet s entrebailler, un voisin m'a même dit un jour :"non,non,le facteur ne vous a pas déposé de courrier ! ...
Écrire sur du papier et retranscrire ensuite...moi je fais le contraire, d'abord l'ordinateur puis je recopie au stylo ... évidemment je n'écris pas de romans...
Bise Mario