Mario Bergeron, romancier du Québec

posté le 03-12-2020 à 03:12:47

Le faux-pas de Louis

 

 

Louis Roy : Mon espoir, ma vie, ma carrière est un roman pardodique des autobiographies de personnages publics. Louis est un pianiste et chanteur de charme, ayant connu de nombreux succès avec ses disques entre 1958 et 1964. Parallèlement, il veut toucher à tous les domaines : comme comédien (cinéma, télé, théâtre) animateur à la radio et à la télévision. Sauf que le succès le fuit en 1965 : son style romantique est considéré démodé. Dès 1966, il ne peut plus enregistrer et se tourne vers la production de disques et le théâtre. Cependant, il tente un retour, mais les deux microsillons produits dans la première partie des années 70 sont de cuisants échecs.

 

 

Son épouse lui en adresse le reproche : "Admets que ta carrière de chanteur s'est arrêtée en 1964 !" Piqué au vif, il lance un pari à la femme, assurant qu'il connaitra un succès de palmarès. Alors, à toute vitesse, il écrit une chanson romantique, passe au studio pour l'enregistrer, malgré l'opposition de son gérant et de son musicien le plus fidèle. Louis gagne son pari : le 45 tours connaît un grand succès radiophonique.

 

 

 

Cependant, Louis réalise qu'il a fait un faux-pas, que cette chanson stupide ne lui ressemble pas et jure de ne jamais la chanter en public. Jusqu'à ce que...

 

 

 

 

 

 

 

 

Trois semaines après la prise de bec avec Jocelyne, La femme en rouge est sur le marché et je souhaite un échec. Hélas! Toutes les stations A-M, sauf au Saguenay, l’ajoutent à leur programmation matinale et j’obtiens mon premier succès de palmarès depuis 1964. Jocelyne me remet cent dollars, un détestable sourire narquois sur son visage. Un gribouilleur de journal à potins me téléphone pour me poser des questions horribles, comme qui est cette femme vêtue de rouge. Je mens jusqu’à la dernière seconde, avant un cri du cœur : « C’est une maudite chanson quétaine! » Ce qui devait être un entrefilet devient un article et une première page, avec une photo de moi-même pigée dans leur réserve et qui doit dater de cinq années.      

  

 

 

Qu’importe, car mon gérant a des appels pour des spectacles, comme jamais il n’en a eu depuis… 1964. Cela me permet de tenter de présenter mes pièces personnelles, même si elles continuent à être ignorées. Le premier de ces spectacles a lieu à Valleyfield et après avoir installé nos instruments, nous poussons la porte d’un petit restaurant du coin et je me sens rougir en entendant la chanson au juke-box. Puis cette couleur devient écarlate quand un adolescent, assis à la table voisine, lance à sa blonde : « Plus niaiseux que ça, tu meurs! »

 

        

 

 

Pas terminé mon repas, m’enfuyant pour trouver un coin isolé et pleurer comme un gamin. Le soir même, quelqu’un réclamera cette chanson. Je sais que Jean la déteste. Les autres musiciens ne disent rien, car ils sont là pour accompagner, comme ils le feront pour un autre chanteur dans quelques mois. Avant le début, je leur dis que nous ne ferons plus jamais cette chanson. Nous réservons Mon espoir pour le bis, mais, ce soir-là, une spectatrice crie : « La femme en rouge! » Je garde silence, puis, dix secondes plus tard, la même voix, davantage plaintive, poursuit : « S’il vous plaît, monsieur Roy. » Cela me remue. Je fais signe aux autres de s’en aller, puis je la chante, seul au piano.

 

Tags: #musique
 


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posté le 29-11-2020 à 06:28:11

Résumé : Le cochon de Bérangère

 

 

LE COCHON DE BÉRANGÈRE 

 

 

 

 

RÉSUMÉ :

L’histoire de Bérangère Tremblay, fille de Jeanne, grandissant auprès de sa tante, après le décès de sa mère. Née à Paris, la fillette puis la jeune fille demeure attachée à son pays d’origine et doit faire face à la xénophobie du peuple québécois. Mariée jeune, Bérangère se voit confrontée à un époux conservateur, autoritaire et manipulateur. Libérée de cette emprise, elle devient une femme d’affaires prospère, mais n’oublie jamais son désir de retourner vivre en France, puis met tout en oeuvre pour que les peintures de sa  mère, réalisées au cours des années 1920, soient reconnues comme des créations uniques et de grande qualité.

 

 

 

 

 

 

CARACTÉRISTIQUES

 

            Plus de cinquante ans de la vie d’une femme, passant d’un rôle traditionnel à une émancipation, au gré des décennies. De là à dire qu’il s’agit d’un livre féministe, il n’y a qu’un pas, d’autant plus que Bérangère aura trois filles et que les personnages masculins sont souvent en retrait.

 

            Comme l'ensemble couvre beaucoup d’années, les chapitres sont thématiques et courts. C’est dans ce roman que j’expérimente pour la première fois les dialogues à quatre répliques, idée qui sera typique des textes que j’allais créer par la suite. Ce roman a un peu plus de 400 pages.

 

 

 

NOTE :

Le cochon du titre est bel et bien une tire-lire, reçue au cours de son enfance, afin d'y déposer des sous pour préparer un futur voyage dans son pays natal. Même devenue adulte, Bérangère demeurera fidèle à cette idée.

 

 

 


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1. chocoreve   le 03-12-2020 à 01:43:50

Ce livre doit être passionnant ! ...
Pour max et betty, l'article en dessous, je connais un couple ressemblant ...ne jamais se fier aux apparences ... très poétiques ta manière d'en parler.

2. Marioromans  le 03-12-2020 à 02:01:45  (site)

C'est le seul de mes textes qui ne se déroule pas au Québec Pour la France des années 30, je suis beaucoup passé par les films de l'époque, par les chansons, car dans les deux cas, il y avait un aspect populo. J'ai évité de nommer des lieux ou une activté socio-historique.

Max et Betty, ce fut une belle aventure, mais en réalité, tout ceci était une version modifiée d'un roman et de personnages évoqués dans mon roman secret Horizons.

3. Marioromans  le 03-12-2020 à 03:01:14  (site)

Me voilà très distrait, car mon commentaire dans la réponse concerne un autre roman !

Pour celui en cause : il m'est apparu évident qu'une femme née en 1936 ait pu vivre les étapes des changements de la condition féminine, au fil des années. Bérangère passe de la raison de vivre des filles des années 50 : le mariage et enfanter, puis au... divorce, jusqu'à devenir une femme d'affaires prospère.

Au fait, à la retraite, elle retourne en France avec l'intention de s'y établir, mais change d'idée en pensant à son commerce, à ses deux filles tout à faiit québécoises, alors qu'une troisième vit en France. Elle donne donc la tire-lire à cette fille.

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posté le 22-11-2020 à 10:45:24

Suzanne défend Max et Betty

 

 

Nous sommes en 1967. Une année auparavant, la mystérieuse et séduisante poétesse Suzanne avait trouvé un emploi comme commis dans une tabagie, propriété d'un homme gros et laid, prénommé Max. Elle avait en premier lieu jugé son patron comme vulgaire, d'autant plus qu'il affichait une culture de bas étage.

 

 

Célibataire dans la soixantaine, n'ayant jamais eu d'amoureuse, Max rencontre Betty, tout autant obèse et affreuse et qui adore aussi cette culture.

 

 

 

Peu à peu, Suzanne se rend compte que sous ces enveloppes criardes se cachent deux coeurs d'or, des personnalités généreuses en bonté. La jeune femme assiste à cette histoire d'amour hors de l'ordinaire et se lie d'une profonde amitié pour le couple. Elle décide d'écrire un roman sur leur histoire et pour y arriver, consent à participer à leurs loisirs afin de mieux les connaître. Une soirée dans un bar western ne se déroule pas comme prévu par Suzanne. Sous son insistance, Max avait invité Betty à danser, ce que le duo refusait sans cesse, ayant crainte de paraître ridicules.

 

Un extrait de Quand on s'aime bien tous les deux.

 

 

 

 

La jeune femme se sent intérieurement terrorisée d’avoir pensé que le couple a l’air grotesque, certaine qu’en insistant trente secondes de plus, un inconnu pointera du doigt en éclatant de rire. Ce qu’elle ne souhaite pas se produit à quelques pas de son épaule : « As-tu vu les deux trucks qui font une collision ? » Il n’en faut pas plus pour que tout le monde dans la boîte, y compris les musiciens, se tournent vers ce point après avoir entendu un blasphème hurlé puis de voir cette chevelue vider la table de ses verres, bouteilles et cendriers, provoquant la course du gérant pour que le tout ne dégénère pas en bagarre. « Jeune hippie droguée! Pas de ça dans mon club! » Il raccompagne Suzanne avec vigueur vers le trottoir.

 

 

« Ah, saudit! T’as vraiment été cow-boy dans un saloon!        

- Je ne peux accepter des insultes à votre endroit. Je m’excuse, cependant, de mettre fin à votre soirée.        

- T’sais, on a passé notre vie à… Bon ben non, ma petite, il ne faut pas pleurer.        

- Désolée. »

 

         

 

 

Suzanne est toujours apparue froide, aux yeux de Max. Elle sourit peu, et toujours brièvement, à l’image de ses rires, de sa constante gueule de bois. Cependant, ces larmes soudaines l’étonnent, prouvent qu’elle a une sensibilité féminine comme toutes les autres. Il la serrerait entre ses bras pour le consoler, mais sent que ce serait maladroit de sa part. De toute façon, Betty a déjà pris l’initiative.

Max propose de trouver un coin paisible pour boire une autre bière, afin que Suzanne se calme.

 

        

 

 

Un bar d’hôtel, pas trop éloigné, gagne la palme. Betty s’assure tendrement que Suzanne va mieux, pendant que Max approche du comptoir pour commander un verre de la marque favorite de la jeune femme. « Tiens, ma fille », fait-il souriant, alors que Betty ajoute maternellement le conseil de ne pas boire trop rapidement. Les deux lui parlent de sa poésie, de ses créations, même si Max lui a un jour avoué : « C’est dur à comprendre, tes affaires, mais c’est beau quand même. » De façon générale, Suzanne ne se vante pas de son style et d’avoir été publiée. Cela existe et voilà tout.

 

         

 

 

Soudain apparaît un nœud papillon avec un homme tout autour, présenté par la serveuse comme Raymond Fingers Lacroix, « de passage dans notre localité avant de se rendre à Las Vegas. » Un piano-bar! Max n’avait pas remarqué l’écriteau, à l’entrée.  Betty souligne qu’elle avait déjà entendu, il y a quelques années, un pianiste très talentueux, Claude Fingers Levasseur. Le musicien débute illico par Moonlight Serenade, faisant cligner les paupières de Betty. Max chantonne tout bas, autant ravi. La troisième pièce jette le couple au sol : rien de moins que Quand on s’aime bien tous les deux, leur hymne par la voix incomparable d’Yvan Daniel.

 

        

 

 

« Dans notre petit  nid de rêve, tout près de moi tu viens t’assoir,          - -  et ma voix tendrement s’élève, dans cette prière du soir,           

- à ce chant très doux, le bonheur jaloux,        

- n’a plus d’autre secret pour nous. Que c’est beau, Max! Saudit que c’est beau! »

 

         

 

 

Suzanne relève les sourcils, sans doute autant étonnée que Fingers, face à cette harmonie maladroite de deux cœurs unis par les mots. Rapidement, tout ce qui bouge dans ce petit espace ne vit que pour cette enfilade de chansons romantiques, faisant tanguer Max et Betty. Suzanne n’a jamais vu rien de plus singulier et de charmant. 

 

Tags: #suzanne
 


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1. Maritxan  le 23-11-2020 à 13:37:12  (site)

Bonjour Mario,
Avant de continuer la lecture de ton texte, je remarque une petite erreur de frappe dans une phrase... "Il la serrerait entre ses bras pour le consoler...".

Merci pour la lecture, j'aime bien ton style.
@+

2. MarioMusique  le 23-11-2020 à 22:39:38  (site)

Merci. Je suis très content de ce roman.

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posté le 17-11-2020 à 05:06:06

Maudit Gladu sale

 

 

 

La seconde partie de Contes d'asphalte, intitulée Martin et le mangeur de communistes, est une idéalisation de ma propre enfance. Le garçon Martin a les mêmes jeux que moi, les mêmes manies, mêmes craintes et joies, etc.

 

 

Je ne sais pas si c'est toujours ainsi de nos jours,  mais chez les garçons de jadis, il y avait toujours un autre gars énervant, soit à l'école ou dans le quartier, s'en prenant sans cesse à un autre.

 

 

 

Ce ne fut pas précisément mon cas, sauf à l'école, alors qu'un compagnon de mes classes. Gilles Gladu, aimait beaucoup me pousser, se moquer de moi, me provoquer. Cela sans malice, je l'ai réalisé après coup, mais au cours de mon enfance, j'avais de bonnes raisons de détester ce gars.

 

 

 

Or, Gladu, sous une forme caricaturale, apparaît dans cette partie du roman, comme l'ennemi juré de Martin. Mon héros dit souvent "Maudit Gladu sale", expression qui a beaucoup fait rire le lectorat. On m'a souvent demandé si ce garnement avait existé. Mais oui : regardez la photo, rangée du bas : je suis le deuxième à partir de la gauche et, à mes côtés : Gilles Gladu qui sourit. Maudit Gladu sale.

 

 

 

 

 

Voici des occasions du roman où Martin lance son exclamation.

 

 

 

 

 

 

Les enfants jouent à la guerre. Gladu proteste contre une décision de Martin à l'effet que le soldat est mort et non vivant.

 

 

 

Gladu fait mal à un ami de Martin.

 

 

Gladu crache dans sa main droite, avant de la tendre à Martin.

 

 

 

Dans la salle de classe, Gladu lance des bouts de gomme à effacer à Martin.

 

 

 

Lors d'une parade du père Noel, Martin se précipite vers un sac de bonbons lancé par le gros bonhomme rouge et Gladu lui marche sur la main pour l'empêcher de la prendre.

 

 

 

Gladu se moque de Martin parce que celui-ci s'amuse avec sa petite soeur.

 

 

 

En jouant au hockey, Gladu fait trébucher le petit frère de Martin.

 

 

 

Au baseball, Gladu donne des coups de pieds aux joueurs de l'équipe de Martin.

 

 

 

Gladu vole une pomme du marchand ambulant de fruits et légumes.

 

 

 

 

 

 

Pffff... Voyez ?  Maudit Gladu sale.

 

 

 

 


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1. chocoreve   le 19-11-2020 à 12:49:51

Ah oui mais il est terrible celui-là ! Je me demande comment il se comporte adulte ? Peut-être un jour est-il tombé sur plus gladu que lui ?

2. Marioromans  le 19-11-2020 à 17:47:38  (site)

Je l'ai rencontré il y a une vingtaine d'années et il se déplaçait en fauteuil roulant. Cela m'avait attristé...

Note bien que dans le roiman, il a parfois raison. A une occasion, pour motiver le bris à une roue de sa voiturette, Martin dit à son père que Gladu l'a brisé, ce qui n'est pas vrai du tout, Se rendant chez le papa du petit gars pour se plaindre, le père de Martin réalise que son fils s'est mal comporté. Il est puni et Gladu, furieux, lui lance son poing sur la gueule. Maudit Gladu sale,

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posté le 08-11-2020 à 21:17:43

Le roman en cours ( 3 )

 

 

J'ai dépassé la moitié, mais n'ai pas atteint le dernier droit. Cependant, tout roule très bien, avec passion, même si un automne frisquet m'empêche de me rendre au terrain fantôme pour écrire (bien que je l'ai fait deux fois, en ce début de novembre.)

 

Grand-Regard a atteint la soixantaine et un moment tant craint de sa vie. Ses enfants sont tous heureux, avec de belles occupations pour les trois  garçons et des tâches de mères attachantes pour les femmes. L'exception est l'étrange Adèle, la romancière la plus célèbre au pays, auteure de trois feuilletons radiophoniques lui apportant une immense popularité. Elle devient sociable, avec le temps, alors que dix ans plus tôt, elle ne l'était pas du tout. Mais Adèle a le don particulier de ressentir les mêmes choses en même temps que sa mère et, gentiment manipulatrice, elle met tout en oeuvre pour corriger les humeurs démoralisantes de Grand-Regard.

 

 

C'est au cours de cette période que Grand-Regard devient victime d'une particularité d'une femme qui prend de l'âge : elle rencontre des problèmes visuels qui iront en s'accentuant et qui la rendront aveugle. Conséquemment, elle diminue ses activités artistiques, que ce soit la peinture ou l'écriture. Pensant sans doute à son destin, Grand-Regard arrive à dessiner les yeux couverts, ce qui impressionne beaucoup deux de ses petites-filles, Anne et Hélène, qui vont jouer des rôles importants au cours des dernières années de vie de leur grand-mère.

 

 

 

Au cours d'octobre,  j'ai relu les trois premiers tomes, afin de les améliorer et quelques phrases m'ont fait sursauter, menant à une décision : la finale de l'ensemble ne sera pas celle prévue, mais découlera de ces remarques étranges, particulières au monde de la science-fiction. J'avoue que lorsque j'ai réalisé tout ceci, j'ai passé une nuit d'insomnie, à force de trop y penser. Quoi qu'il en soit, j'ai ajouté aux documents de courtes références vers ce destin. J'en parlerai lorsque je serai rendu à cette étape.

Comme indiqué précédemment, les températures froides m'empêchent de sortir pour écrire. Je le fais à la maison, habituellement en soirée. Cependant, j'ai toujours été davantage à l'aise pour écrire hors de mon intérieur. Pour les rares personnes qui passent par ici pour une première fois, je n'écris pas avec l'appareil illustré ci-haut, ni directement dans un fichier informatique, mais bel et bien sur du papier, avec un stylo. J'ai toujours fait ainsi et cela fait partie de ma nature. Je n'ai qu'à retranscrire informatiquement les pages récentes.

 

 

 

 

 


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1. fabienne_fafa  le 09-11-2020 à 20:06:10  (site)

bonsoir Mario
merci pour tes commentaires chez moi, passe une bonne soirée.
et une bonne semaine.
bises.

2. Maritxan  le 10-11-2020 à 18:22:54  (site)

Ça me fait tout drôle que tu parles des dernières années de la vie de Grand-Regard. Dans ma tête ce personnage était presque immortel, j'étais prête à écouter encore et encore des histoires sur sa vie. Mais, tu as raison toutes les bonnes choses ont une fin. Ainsi, le personnage devient plus proche de nous et son souvenir se fait plus vivace. Sourire1

3. Marioromans  le 10-11-2020 à 21:02:00  (site)

Le personnage est né en 1880, J'en suis en 1946. Elle a donc dans la soixantaine.
Merci de ce commentaire. Il n'u en a jamais eu beaucoup de la part des gens de cette plateforme.

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