Mario Bergeron, romancier du Québec

#enfant
posté le 14-12-2019 à 04:48:30

Une petite fantôme

Voici un chapitre complet du roman que je suis en train de créer. Son titre : L'amicale des fantômes du Trois-Rivières métropolitain. Rappel : Après la mort, Roger et Annette (et non pas Dieu...) permettent aux trépassés les plus méritants de revivre chaque nuit, en qualité d'esprit, les moments des plus grands bonheurs de leurs vies sur Terre.

Le plus jeune de mes fantômes est une petite fille de quatre ans, prénommée Mimi et ayant vécu ses plus beaux instants sur Terre en 1971. Chapitre complet, donc. Dix de mes pages manuscrites. Un peu long, peut-être, mais cela devrait vous amuser et, en toute logique, la finale va vous vous faire pleurer.

 


 
 
posté le 26-03-2018 à 05:23:32

L'imagination de Martin

Contes d'asphalte (Années 1950) fait partie des romans dont je me montre très fier, depuis toutes ces années. La seconde partie se concentre sur un petit-fils de Roméo Tremblay : Martin. Celui-ci admire son grand-père et il va de soi que l'homme adore l'enfant. Pourquoi ? Les deux ont beaucoup d'imagination. Les chapitres sont thématiques et suivent un schéma pareil. Ils se terminent par un conte narré par Roméo, sur le thème choisi. Ils débutent par une histoire que se raconte Martin, avec tout autant d'imagination et de drôlerie. Dans l'extrait que je vous propose, Martin devient un explorateur de l'époque de la Nouvelle-France. Voici !

 


 
 
posté le 08-03-2018 à 07:02:59

Une idée éclair

De tous les romans que j'ai pu écrire au cours de ma vie, Une journée, une rue, cent personnages est mon favori, mon meilleur! Sa création a été une aventure extraordinaire et je crois que l'ensemble était une idée originale, hors des sentiers battus. Cependant : un plan rigoureux, puis beaucoup de discipline. Les cent personnages du titre représentent autant de chapitres, de trois pages, divisés entre 50 hommes et 50 femmes, lesquels sont aussi divisés en cinq parties : enfants, adolescents, jeune adulte, adulte, vieillards. Il fallait, pour le plan, trouver ces cent personnages. Un travail d'un mois! Enfin en route, je me rendais chaque jour au parc pour écrire une page et pas une ligne de plus.

Ce jour-là, mon plan m'indiquait : "Fillette triste". Alors, je me mets à écrire, mais arrête cinq minutes plus tard, ayant l'impression qu'un autre chapitre était trop semblable. Il fallait trouver une autre avenue et je n'y arrivais pas. Soudain passe derrière moi une fillette portant pantalon, faisant bondir vigoureusement un ballon. J'ai alors pensé qu'à l'époque de mon roman, en 1949, elle aurait été jugée comme un garçon manqué. Et la voilà mon idée! Voici le résultat et les trois pages complètes.

 


 
 
Chargement des articles suivants..