D'abord, les cris, la clochette et les "Come on Buddy" étaient l'oeuvre d'une femme croisée - mais surtout entendue! - lors des rencontres de l'équipe Midget dont j'étais moi-même partisan, en 2011. En second lieu, quelques années auparavant, il y avait au stade de Trois-Rivières un homme particulièrement odieux envers l'adversaire et les arbitres. Un soir, je vois un des arbitres arrêter la partie, avancer vers les estrades, pointer l'homme du doigt en lui disant : "Arrête ça ou je te fiche à la porte une autre fois." Ce dernier élément m'avait étonné et je m'étais renseigné auprès d'un membre de la direction du stade : Oui, ce partisan avait déjà été expulsé à quelques occasions par les arbites.
Ma collaboration, c'était la photo de Trois-Rivières du bas. Pour le médaillon, j'ai eu mon mot à dire pour L'Héritage de Jeanne. J'y reviendrai. Ce qui est illustré ci-haut n'est arrivé qu'une seule fois : on m'a soumis deux suggestions. Je me souviens avoir apporté ceci à mon université, demandant l'opinion à tout le monde. Unanimité : la fille de droite avait l'air trop nunuche. C'est donc celle de gauche qui a gagné la partie.
Le texte ci-haut est un courriel reçu d'un lecteur. Cela arrivait de temps à autres, car lors des salons du livre, je laissais toujours une pub où on trouvait mon adresse. D'autres passaient par le site de la maison d'éditions. De telles surprises faisaient beaucoup plaisir et j'ai d'ailleurs tout conservé. Ce message présente deux faits inhabituels. Un homme qui m'écrit? Très rare ! De plus, le message date de février 2010, c'est à dire quatre années après que l'éditeur eut pilloné les romans de la série Tremblay. Le type a alors sans doute lu ces livres via les bibliothèques et n'a lu que la moitié de la série. Je lui ai assurément mentionné les trois livres manquants. Cliquez sur l'image pour lire.
Un de mes personnages favoris de la saga Tremblay. Il apparaît dans quatre romans. Isidore est le prototype du "bon gars", malchanceux et maladroit, mais que tout le monde aime.
LES FREAKS
RÉSUMÉ :
Un écrivain et dramaturge rencontre un nain qui, comme lui, est fasciné par l’univers forain du 19 siècle, surtout les spectacles des curiosités humaines sous tentes. Ils décident d’écrire une pièce de théâtre sur ce sujet, ayant recours à des comédiens amateurs avec certaines des particularités physiques de ces êtres du monde du spectacle d’autrefois. Le projet devait être une pièce amateur présentée à quelques reprises dans une région, mais des spectateurs, outrés de l’utilisation de personnes handicapées comme comédiens et du langage, portent plainte, si bien que les médias sont attirés par la page à sensation que représente cette pièce. Les comédiens, dans leur propre existence, vivent le drame raconté par la pièce.
La famille longe le quai afin de se rendre au bateau de pommes des Rouette où Roméo sera récompensé du grand service qu’il vient de rendre à son père, l’empêchant de dépenser pour de la viande avariée. « Des pommes autant que tu voudras, mon garçon! » Roméo n’en désire pas des poches entières. La seule visite de cette péniche blanchie à la chaux lui suffit pour combler sa journée.
Le salon a lieu dans la ville de Hull, dans un endroit accessible. C'est à trois heures de route de chez moi. De plus, à quatre occasions, j'ai couché dans une chambre louée par deux dames âgées et sympathiques. Vous parlerais-je de ce restaurant marocain où les jeunes commis tournaient les pâtes tout en chantant?