Attribuer un patois à un personnage de roman sert à lui donner une personnalité propre, de permettre de le reconnaître facilement. Idem pour les blasphèmes. bien que ces derniers servent à cerner une situation, de colère habituellement. J'emploie très peu de jurons québécois, sauf dans le cas des Baveux. Habituellement, il y en a un ou deux, bien placés! Voici un petit tour d'horizon de ces aspecs de mes romans.
J'ai toujours beaucoup aimé la photo ci-haut. Ma mère avait 17 ans, au début des années 40. Une fois par année, elle se rendait chez un pro pour une photo de haute qualité.
Nous sommes à la fin du 19e siècle et les petites filles, aux premières manifestations de la féminité, doivent changer leurs habitudes vestimentaires avec, entre autres, l'arrivée d'un corset. Voilà ce que doit vivre Grand-Regard. Elle n'est pas d'accord du tout !
http://marioromans.vefblog.net/2.html#Personnage_reel__Ludger_Duvernay
GROS-NEZ LE QUÊTEUX (Publié par Marcel Broquet en 2015
Céline sera une femme traditionelle, dans son rôle d'épouse. Fervente catholique, elle règne dans sa maison et adore les tâches relatives à ses devoirs.