Au cours des premières années du 20e siècle, mon vagabond Gros-Nez vivra une aventure étonnante. Utilisant les wagons de marchandise pour se déplacer clandestinement, mon personnage rencontre un jour un chien qui semble perdu. Gros-Nez croit que l'animal appartient à un cultivateur des environs, désireux de perdre la bête en le déposant à cet endroit. Perspicace, mon héros, mais il ne s'attendait vraiment pas que tout ceci durerait deux mois, dans une direction opposée à la sienne. D'abord, la rencontre entre Gros-Nez et le chien que l'homme baptisera Sans-Nom.
À cette occasion, je faisais figure de vétéran avec mon cinquième roman, entouré de deux hommes débutants. Nous avions en commun des livres se déroulant dans le passé. Les questions du journaliste s'adressaient aux trois à la fois. Je me souviens que nous avions eu beaucoup de plaisir et qu'aucun ne cherchait à nuire aux autres. J'ai poursuivi ma route, mais n'ai plus jamais entendu parler des deux autres. J'aime bien mon mot de la fin, car c'est une situation que je vis toujours de nos jours lors de la création d'un roman. Cliquez pour lire.
Un troisième article consécutif à propos de mon personnage Suzanne, en vedette dans Horizons et aussi dans Quand on s'aime bien tous les deux. Nul besoin de la décrire. En lisant ses citations, vous cernerez très bien sa nature.