Aussitôt que j'avais du temps libre, je montais vers les micro-films. Je regardais tout ce qui concernait Trois-Rivières, que ce soit pour mes études en Histoire ou pour mes romans de la série Tremblay.
Lundi ou mardi, je vais débuter la création du prochain roman, portant le titre de Grand-Regard et les enfants. Ce texte va suivre les étapes précédentes : Grand-Regard et la jeunesse, Grand-Regard et la Lumière. Bien qu'ils se suivent chronologiquement, il ne s'agit pas de 'suites', bien que la forme respecte ce qui a été fait avant : un court roman d'environ 200 pages, sans dialogues avec tirets, avec des chapitres thématiques de dix pages, enchainés les uns aux autres et représentant une année. Le texte sera à la troisième personne, avec échanges entre les personnages, à même les paragraphes.
Il me reste trois pages à écrire pour terminer mon roman L'amicale des fantômes du Trois-Rivièresmétropolitain. Le tout a débuté le 14 août 2019. Un peu plus de sept mois, pour un texte d'environ 200 pages. Un peu long comme processus, mais ce n'est pas trop grave.
Nous sommes au 17e siècle en Nouvelle-France, au début de la décennie 1640. Le fort des Trois-Rivières est sans cesse menacé par les Agniers (une des cinq nations iroquoises) parce que les Français ont établi des ententes avec les peuples qui sont les ennemis des Agniers. Quand ces derniers rodent, un des peuples ami, les Algonquins, mettent à l'abri leurs femmes enfants et vieillards dans le fort.
Chaque soir de ma vie, je revois mes romans terminés, afin de les améliorer et peut-être de déceler des erreurs. Mëme dans le cas des textes publiés, car un roman n'est jamais terminé. L'étape présente : L'Héritage de Jeanne. Il a été publié en 2000 et sans doute écrit autour de 1995. Or, je viens de me frapper les yeux contre une erreur évidente. Comment diable se fait-il que je ne l'avais jamais vue avant, que l'éditeur et son équipe ne s'en étaient pas rendu compte?