LA SPLENDEUR DES AFFREUX : Grandissant dans une écurie, Étienne le bossu est fou des chats. Il fera de deux d'entre eux des compagnons d'amitié. Les chats portent le même nom : Ici. Le second Ici avait l'habitude de s'installer sur les épaules d'Étienne, même quand la chatte sera adulte. Le nom Ici provient d'un chat nommé ainsi et qui appartenait à une femme de la tournée des salons du livre.
LES INNOCENTES EN ENFER
RÉSUMÉ :
Au cœur des années 1960, un veuf, père de trois filles adolescentes, raffole de la musique populaire et décide que sa progéniture atteindra la célébrité en devenant le premier groupe féminin à jouer de ses propres instruments. Ceux-ci achetés, les trois filles se montrent peu douées dans l’apprentissage musical. Le père supervise des répétitions sévères et, lancée sur scène sans être prêtes, la formation, baptisée les Innocentes, devient la risée de leur petite ville. Qu’à cela ne tienne, le paternel insiste avec de plus en plus de sévérité, dépense ses économies pour l’enregistrement d’un microsillon, alors que la vie des adolescentes devient de plus en plus éprouvante et terrifiante, jusqu’à un point de non retour, les incitant à organiser un accident où leur père perdra la vie.
Les romans Petit Train et Perleset Chapelet ont été disponibles en France en 1999 et 2000. Un peu plus de 10 000 copies ont été vendues. Au Québec, avec de tels chiffres, je serais sur les palmarès! Mais pour la France, c'était un échec, si bien que l'éditeur européen n'avait pas jugé bon de commercialiser les quatre autres tomes de la série Tremblay.
La première manifestation se déroule au cours des années 1820 dans La splendeur des affreux, alors qu'Étienne et sa Jenny sont en promenade et que la femme ressent des douleurs annonçant un accouchement. Le couple est loin de la ville et Étienne cogne à la porte d'une maison de ferme pour recevoir de l'aide, que les occupants refusent, leur permettant, cependant de s'installer dans la grange. C'est dans ce lieu qu'est né Isidore. Il va de soi que les vilains étaient les Trottier. Jenny gardera une haine certaine de ces gens.
En ce dimanche 22 juillet 2018, j'achève la création d'un roman né en août 2017. Onze mois pour un texte de 300 pages (qui en aura 275 en fichier informatique), c'est beaucoup trop long, mais je me souviens que l'hiver dernier, j'avais traversé des moments nébuleux relativement à ce texte.
Ce qui devait être un spectacle amateur présenté cinq ou six fois fait soudainement la manchette, à cause de l'emploi d'handicapés, mais aussi du langage d'époque, reflets de l'exactitude désirée par le dramaturge.
Un contrat lie un auteur à une maison d'éditions pour X temps, qui ne peut être défini d'avance. Le contrat est valide tant et aussi longtemps que le livre en cause se vend bien, est en demande. Quand il y a mévente, l'éditeur a l'habitude d'avertir la personne que le contrat tire à sa fin. Dans un tel cas, l'auteur redevient propriétaire de son texte.
Il est évident que mon personnage soeur Marie-Aimée-de-Jésus a une foi tiède, d'habitude. Jeune, elle rêvait de devenir enseignante. Cependant, à l'adolescence, elle a réalisé qu'en qualité de laĩque, elle ne récolterait que des miettes et travaillerait dans des conditions minables. Comme enseignante religieuse, tout serait en place pour une plénitude dans son métier.
Ce que vous voyez ci-haut est un peu les deux à la fois. Il s'agit d'une partie du plan pour la seconde partie de Contes d'asphalte. Cliquez pour mieux voir.
(M. Bergeron)
Sur la base des notes qui suivent, prises au fil d’une lecture partielle, voici mon avis :
Il y a chez cette bande un attachement profond pour ce lieu où ils "vident les bouteilles et remplissent les cendriers." Alors, je le décris avec amour, avec des souvenirs personnels qui sont demeurés vivants dans mon esprit. Voici un extrait des Baveux, avec une description du Rio. Je souligne que le serveur chauve a réellement existé.
Lors de la venue d'un second enfant, il devait être baptisé Joseph, mais Isidore a raconté au curé que l'épouse avait changé d'idée et que son nouveau choix sera Richard.
L'auteur a une meilleure chance si la maison d'éditions paie une publicité dans le média. C'est ce qui est arrivé avec VLB et l'importante revue Le Libraire. Ce sera la seule critique pour ce roman. Notez bien que si l'honneur ne m'est pas arrivé trop souvent, c'était toujours positif.