Mario Bergeron, romancier du Québec

#fantôme
posté le 19-12-2020 à 09:58:03

Résumé : Le fantôme du stade

LE FANTÔME DU STADE

RÉSUMÉ :

En mai 1969, un adolescent de quatorze ans se rend au stade de baseball de Trois-Rivières pour assister à une rencontre, mais dès le début de la confrontation, le jeune est atteint au front avec violence par une balle et meurt immédiatement. Un peu plus tard, il se réveille, voit les gens sortir du stade et note vite qu’aucun spectateur ne le remarque. Il est incapable de franchir la porte et personne n’écoute ses plaintes. Les jours suivants allaient révéler un fait bizarre : il est bel et bien décédé, mais revient à la vie lors d’une joute, sans pour autant pouvoir sortir du lieu, et quand le match se termine, il redevient invisible. 

 


 
 
posté le 06-12-2020 à 06:50:44

Marie la mécanicienne

Mon roman L'Amicale des fantômes du Trois-Rivièresmétropolitain révèle un secret : il y a une vie éternelle, après la mort, mais pas tout à fait comme les religions le croient. Les défunts ont la possibilité de revenir sur Terre, chaque nuit, en qualité d'esprits. étant en mesure de revivre les moments les plus heureux de leur existence. Vous ne le saviez pas ? Mario B adore les fantômes. Le moment de bonheur que je vous présente concerne une jeune femme, Marie, qui fut mécanicienne en 1942, pendant la guerre.

Il y eut, pendant une trentaine d'années, un bel aéroport, au Cap-de-la-Madeleine. Pendant la guerre, l'armée se servait de cet aéroport pour une école de jeunes aviateurs. Quelques civils y travaillaient et comme beaucoup d'hommes étaient déjà soldats, on a fait appel à des femmes pour un rôle très rare : mécaniciennes. Leurs tâches consistaient à s'assurer que les avions utilisés par les élèves soient impeccables, entretenus et, en cas de bris, elles pouvaient les réparer.

 


 
 
posté le 13-04-2020 à 00:03:22

Références au service de la poudrée

Un des personnages de mon roman L'Amicale desfantômes du Trois-Rivières métropolitain. Après son décès, Bernadette peut revivre chaque nuit, en qualité d'esprit, les moments les plus heureux de sa vie. Pour elle, il n'y avait qu'un choix : 1929 et la rue des Forges, où elle passait ses soirées et ses congés, à marcher sans cesse, lançant des "Allô!" à tout le monde, vêtue avec sa jupe courte, son chapeau cloche et maquillée comme toute bonne garçonne des années 1920 adorait le faire, d'où le surnom "La poudrée" qu'on lui avait donné.

Le chapitre présente des clins d'oeils à cette époque que la plupart des futurs lectrices et lecteurs ne pourront identifier. Pour l'identification, notre poudrée ne jurait que par la comédienne Clara Bow dans son film It. Référence à une scène de ce film :

 


 
 
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